mardi 24 juillet 2012

mon défit

à chaque fois que j'écris

je me mets en défits

et je me sens toujours batu

car jamais je ne verais le pire

avec aucune chance de trouver le sourire

sans aucun ami ni vampire

comme une cible dans un champs de tir

pour une tristesse et un chagrin qui me poussent à souffrir

rien de plus enchantant que mourir,

les souvenirs et les mémoires me tirent

vers une caverne d'un nocturne qui respire

je prie dieu et je ne m'empeche de me dire

qu'un jour je trouverais le bonheur dans l'avenir

entre l'obeissance de allah et la lecture

du coran qui me chargera de foie et d'armature

contre un desespoir et un echec qui me déchire

et l'amour d'un père qui s'arretait de me couvrir

malgré qu'il ne cessait jadis de m'offrir

pleins de perles et de delices

c'est ton fils aymen perdu qui ne cesse de courrir

dans un chemin très long qui ne semble pas finir

franchir les barrières de son silence pour seulement écrire

et peut etre ça peut suffir

pour arrêter un volcan qui soupire

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